C’est une posture de recherche intervention qui est proposée par le Consortium. Elle est caractérisée par une volonté de cohérence entre l’objet (des services nécessairement coproduits) et la méthode d’acquisition de savoir comme de capacités, observables uniquement en situation.
En effet, tout particulièrement pour la production d’un savoir sur les conditions et la pertinence d’une production de services « aménitaires »[1], à l’aide d’écosystèmes complexes (sous-traitances, co production), le projet de recherche et développement du Consortium vise la constitution d’un dispositif d’aide à la recherche de solutions et non la fourniture de solutions.
Par différence avec une posture d’expertise (censée apporter des solutions), le Consortium adopte une posture d’accompagnement. Il ne s’agit nullement de dire ou faire à la place de… mais de travailler avec.
Par l’apport de moyens en méthodes et en concepts pour la recherche et l’expérimentation, il s’engage dans l’accompagnement de clients et de prestataires sur la formulation de leurs questions et la recherche de leurs réponses.
[1] Pour une définition des « aménités » comme domaine d’activité économique, voir l’article « des services généraux aux aménités des espaces de travail », Baron X., Cugier N., l’Expansion, février 2016.